Fruit de plusieurs mois de R&D, Holiseum a développé une plateforme, commercialisée sous forme de service d’audit, simulant l’intrusion et la propagation en conditions réelles d’un ransomware sophistiqué, démuni de sa charge malfaisante.
Ce moyen inoffensif permet de tester les défenses d’une organisation et d’en déterminer le niveau d’exposition en cartographiant l’étendue des actifs potentiellement compromis ainsi que les chemins de propagation. Cette stratégiedry-run permet d’anticiper la menace des ransomwares bien au-delà de ce qu’un test d’intrusion classique peut apporter. Ainsi, il devient possible de cibler les actions de sécurisation de manière optimale.
L’année 2020 a connu une recrudescence fulgurante des attaques par ransomware où toutes les organisations peuvent être impactées. Que l’attaque soit opportuniste ou ciblée, cette menace évolue et s’industrialise. Tandis que les modes de propagation et d’infection se sont perfectionnés, les surfaces d’attaques ont significativement augmenté à l’ère des objets connectés souvent peu sécurisés.
“L’actualité des cyberattaques par ransomware suscite une anxiété certaine chez nombre de dirigeants et de responsables informatique. Connaître son niveau d’exposition et l’efficacité de ses défenses sont des besoins légitimes, pourtant difficiles à déterminer. Notre service de « Tir à Blanc Ransomware » a été pensé dans le but de faire la lumière sur ces questionnements, et permettre ainsi d’identifier les éventuelles remédiations nécessaires pour se protéger. » précise Renaud Lifchitz, Chief Scientific Officer, chez Holiseum.
L'ANSSI recommande aux organisations de démarrer dès maintenant les travaux de mise en conformité NIS 2.
Publiée le 27 décembre 2022, l’adaptation dans le droit national français de la directive NIS 2 est prévue pour le 17 octobre 2024.
En tant qu'expert en cybersécurité des infrastructures critiques et industrielles, Holiseum vous accompagne dans ces démarches essentielles dès aujourd'hui.
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La directive européenne NIS 1 (Network and Information System Security), adoptée en 2016, visait à renforcer la cybersécurité des opérateurs de services essentiels (OSE) et des Fournisseurs de services numériques (FSN). Depuis, les cybermenaces ont explosé, avec une augmentation de 30 % des attaques par ransomware entre 2022 et 2023 en France [1]. Pour répondre à cette escalade des menaces, la directive NIS 2 s'impose comme une mise à jour cruciale pour mieux protéger les organisations, y compris les administrations des États membres de l'Union européenne.
La directive NIS 2 étend son champ d’application à plus de 10 000 entités, dans 18 secteurs d’activité clés, contre 7 pour la NIS 1 [2].